Le calme
lentement revient dans nos esprits
Mais il
reste pourtant dedans notre mémoire
Comme une
cicatrice et nous avons appris
Qu’au cours
d’une existence il est obligatoire
Que le plus
grand malheur nous touche à notre tour
Et que la
mort enfin sans partage domine.
Seigneur, Tu
l’as voulu, j’enterre donc ce jour
Celui qui
fut mon père et triste je m’incline.