samedi 28 juillet 2018

Il y a quarante ans...




Le calme lentement revient dans nos esprits
Mais il reste pourtant dedans notre mémoire
Comme une cicatrice et nous avons appris
Qu’au cours d’une existence il est obligatoire
Que le plus grand malheur nous touche à notre tour
Et que la mort enfin sans partage domine.
Seigneur, Tu l’as voulu, j’enterre donc ce jour
Celui qui fut mon père et triste je m’incline.

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