Enfant, que
le soleil illumine ton cœur :
Les épreuves
sont faites
Pour être surmontées ;
C’est la
voie attestée
Pour
parvenir au faîte.
Quel trésor
est ce mal dont tu n’es pas l’auteur !
Vers cet
horizon noir, va, chemine sans peur
Mais avec l’Espérance
Pour combler
Mon attente ;
Rejette en
ta souffrance
La fureur
qui te tente.
Je suis ta
Mère, enfant, et Dieu, ton protecteur.
Et nul n’est
oublié qui se fie au Seigneur
Et l’acier
de la chaîne
Et le nœud de
la corde
Sont des
entraves vaines
A Sa miséricorde
Et, Moi, ta
Mère, enfant, je sècherai tes pleurs.
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