samedi 8 juin 2013

Psaume 101. Paraphrase.



Dans l'affliction, Seigneur, écoutez ma prière,
Ne Vous détournez pas de Votre serviteur,
Dans l'ombre de la mort j'invoque la lumière,
Daignez me secourir au milieu de mes pleurs.
Car mes jours ont passé comme fait la fumée,
Mon corps s'est déssèché, mon coeur s'est fait pesant,
Mon visage est flétri, mes mains sont décharnées.
A force de soupirs et de gémissements
Je ressemble au hibou des forêts solitaires,
Amis et ennemis se dressent contre moi
A cause de ma faute et de Votre colère.
Mes jours comme le sable ont fui entre mes doigts
Mais Votre nom, Seigneur, passe de race en race
Et Vous aurez pitié, Seigneur, Vous ferez grâce,
Le temps en est venu, à tous Vos serviteurs.
Vous les exaucerez dans leur humble prière,
A jamais dans Sion, ils loueront Votre nom,
Votre gloire, à jamais, sera mise en lumière
Et toutes Vos bontés, ils les répéteront.
Que ceci soit écrit, qu'il en soit fait mémoire,
La race qui viendra chantera le Seigneur,
Les peuples s'uniront pour servir et pour croire
Et Sion relevée redira sa ferveur.

                        ***



Notre-Dame de l'Assomption. Evian.
 
Ce psaume fait partie d'un ensemble de psaumes du roi David appelé: "psaumes de la pénitence".

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