Quand les ennuis s’accumulèrent,
Jour après jour et sans répit,
La force fit place au dépit,
La joie et l’insouciance s’en allèrent.
Mes
amis m’offrirent leur aide
Mais
il s’en faut qu’elle ait suffi ;Chaque instant portait un nouveau défi,
Je marchai sur la corde raide.
Je
ne trouvais pour seul soutien
Que
les mots simples des prièresQue je Vous adressais, ma Mère,
Le reste ne servait à rien.
Vous
étiez, ô Mère de Dieu,
Mon
bonheur et mon espérance :Je Vous priais dans ma souffrance,
Puissé-je, en paix, Vous prier mieux.
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