jeudi 2 mai 2013

En Souvenir.



Quand les ennuis s’accumulèrent,
Jour après jour et sans répit,
La force fit place au dépit,
La joie et l’insouciance s’en allèrent.

Mes amis m’offrirent leur aide
Mais il s’en faut qu’elle ait suffi ;
Chaque instant portait un nouveau défi,
Je marchai sur la corde raide.

Je ne trouvais pour seul soutien
Que les mots simples des prières
Que je Vous adressais, ma Mère,
Le reste ne servait à rien.

Vous étiez, ô Mère de Dieu,
Mon bonheur et mon espérance :
Je Vous priais dans ma souffrance,
Puissé-je, en paix, Vous prier mieux.

                 ***     
 
 
            

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire