C'est
l'heure calme où la nuit tombe
Sur ce
chemin ou le jour meurt,La lumière est toute douceur
De la colline et de la combe
Au long des rives de l'étang
Où s'endort un reflet d'opale.
Sur la broussaille au bord du champ
Comme sur les forêts d'or pâle
Avant la nuit, s'étend la paix
Mélancolique mais sereine,
Une promesse où tout se tait
Pour aimer, oubliant sa peine,
A travers Vous et en tous lieux
Très Sainte Mère, Auguste Reine,
L'œuvre du Seigneur, notre Dieu
Dans sa magnificence pleine.
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